Translate

samedi 1 décembre 2012

LES EDITIONS TERRICIAE présente : Il est là, il est beau !

Enfin, le voilà, tout frais de ce matin. Beau, sobre, énigmatique comme le personnage qui l'habite. Le prix est raisonnable.

mercredi 14 novembre 2012

L'attrapeur.... dix de der !

Je viens d'avoir mon éditeur au téléphone...
Plein de bonnes choses :

1 : il est en correction, c'est sûr.
2 : La couverture sera imprimée d'ici deux semaines.
3 : Kunoichi... arrive au bout de ses un an de vie... les comptes seront arrêtés pour Mars 2013.
4 : le nouveau manuscrit est en lecture... le verdict me sera annoncé dans les prochaines semaines.

Alors visitez ce petit pays de l'écriture régulièrement si vous souhaitez vous tenir au courant. :)

mercredi 7 novembre 2012

L'attrapeur, un homme sans histoire (Rebelote)

Un petit mot du service d'édition dans ma boîte Mails ce matin :
Le manuscrit est en correction...
Et, j'ai reçu puis renvoyé la fiche technique le concernant. Histoire d’appâter les services de presses quelques détails sur le contenu du roman et sur son auteur sont systématiquement réclamés.

Affaire à suivre... encore !

lundi 5 novembre 2012

Le salon littéraire d'Harfleur en bref.


Le salon d'Harfleur n'a que deux ans. Il n'en aura jamais trois ! La région mais surtout la ville, son maire et ses administrateurs n'apprécient pas la culture. Résultat : Daniel Leveillard, grand secrétaire perpétuel de l'académie de recherche a sué encre et eau pour très peu de visiteurs. Se sentant abandonné, il n'y aura pas d'autre manif culturelle de type salon l'an prochain à Harfleur... il se fera, mais ailleurs.
Dommage pour Harfleur; nous nous sommes encore une fois retrouvés entre auteurs, écrivains, poètes, romanciers, conteurs, dessinateurs, éditeurs...  avec bonheur bien sûr, et que de rires, que de sympathiques discussions, que de rencontres... Vouloir vendre son livre sur les salons est une foutaise, mais y passer une journée enrichissante est un réel plaisir.

Il est à noter qu'un petit texte sur la pomme a encore fait sensation. Daniel s'est fait un malin plaisir de relire mon texte... l'assistance a aimé, ri, applaudi, m'a félicitée. Résultat : j'ai rougi, et me suis cachée sous ma casquette. Je déteste être mise en avant. Mais dans le fond, les compliments, c'est plutôt agréable !



Alors même si je ne dois pas compter sur les ventes de livres, je referai volontier des salons organisés par l'énergique Daniel et compagnie.

vendredi 2 novembre 2012

Salon du livre


 Grand salon international du livre populaire

Demain, retrouvez-moi là, si cela vous enchante...
Ce grand salon du livre est prévu le samedi 03 novembre 2012 à la grande salle du Centre Culturel La Forge, rue Frédéric Chopin, HARFLEUR (entrée du HAVRE).
Ce salon est organisé par Daniel LEVEILLARD, président de l'Académie de Recherche Concertée sur l'Homme et son Environnement:historiens,poètes,romanciers et scientifiques venant de toute la France et des pays limitrophes.
Heures d'ouverture au public : De 10 H à 12 H et de 14 H à 18H00.
salon du livre à Harfleur le 03 nov 2012 Cliquez pour zoomer

lundi 17 septembre 2012

L'attrapeur, un homme sans histoire (suite)

Enfin ! Je suis parvenue à joindre mon éditeur au téléphone... ! C'était à peu près aussi évident que de se farcir le parcours de la santé avec une bronchite carabinée, un vendredi soir à la fin de sa journée et de sa semaine, "L'attrapeur, un homme sans histoire" ne sera pas dans les rayons avant l'année prochaine :(

Mais... ! Mais il va tenter de me fournir mes exemplaires persos pour novembre, au moment du salon d'Harfleur, où je serai. Bon, donc j'espère avoir assez vite la couv et son quatrième à mettre en première ligne sur ce petit blog.

Affaire à suivre...

jeudi 13 septembre 2012

Un lecteur ravi.

Merci Bernard. Mais tu le sais déjà, ton honnêteté me convient. Alors je laisse seulement ta superbe critique grandir sur ce blog.

Je viens de terminer Kunoichi et le Samouraï !
J’ai beaucoup aimé. Je dois dire que je n’y connais rien sur la vie des guerriers japonais, et j’avais un peu peur de nager complètement.
Il n’en est rien ! Tu arrives à situer les contextes, les personnages, etc… (Oui, on se tutoie si cela ne te dérange pas, c’est plus facile pour la conjugaison !)
Contrairement à beaucoup d’auteurs, tu parviens à glisser des descriptions des lieux et des personnages qui aident et guident la lecture. C’est un « + » qu’il ne faut pas omettre et ça change tout pour le lecteur.
Si je dois retenir une « critique négative » : les combats ne sont pas souvent très clairs à comprendre. J’avoue que ce ne doit pas être simple à mettre en scène ! Mais je parle plutôt de la façon de les amener, surtout par rapport au contexte : On ne sait pas toujours très bien comment sont positionnés les différents protagonistes dans le lieu où ils se trouvent, notamment dans la scène des prisonnières sauvées par Tatsuya…
Le seul autre point négatif n’est pas de ta faute ! Il s’agit de la couverture ! En effet, j’ai longtemps hésité à commander le livre car l’image donne quelque chose comme… Un livre pour enfants ! Ça me fait étrangement penser aux couleurs de l’affiche du dessin animé « Kirikou et la Sorcière »… ?! Mais un de tes lecteurs a su me convaincre (j’ai lu un commentaire… sur ton blog je crois… ?) et je me suis dit qu’il y avait sans doute une différence entre le texte et sa couverture, ce qui est le cas. Je pense qu’une image plus dramatique dans les tons des couleurs employées serait plus juste et moins trompeur sur « la marchandise » !
Voilà, je te félicite donc pour ce beau travail de recherche (on sent la passion non ?!), de documentation et d’écriture. Là on est en compagnie d’un vrai écrivain, on ne sent pas d’à peu près, c’est pro, bravo !

jeudi 2 août 2012

Une lectrice ravie, un auteur plus encore.

A Didie27: pour avoir aimé ce petit roman. Tatsuya et Haïko sont heureux d'avoir su vous émouvoir. Leur auteur vous en remercie. Commentaire trouvé sur Booknode.com

Kunoichi et le samourai

Couverture de Kunoichi et le samourai

Edition

2011 Terriciaé français
collection MAIATALBA
Voir plus

Auteur



8 / 10
Apprécié pour

Ajouté par didie27 le 20:35

C'est parce qu'elle n'est pas née de l'amour, que Namiko Haïko est ce qu'elle est : une guerrière impitoyable, un mercenaire de l'ombre capable sans regret, ni remords d'occire pour une poignée de Ryo… Une Kunoichi vindicative.
Son apprentissage du Ninjutsu est terminé. Son Senseï la presse de quitter le sanctuaire de son école… « Alors, lui aussi m'abandonne, comme tous les autres avant lui ! »
De sa triste naissance elle ne garde que de l'amertume et de la rage envers ce monde qu'elle hait, mais aussi une lettre (un lègue pathétique) où figure cinq noms ; cinq noms qu'elle grava dans sa mémoire à tout jamais. C'est pour ces cinq patronymes qu'elle va parcourir son pays dans un seul but : la vengeance !
Ailleurs dans la région de Kanto, un autre drame va se jouer ; celui de Tsubaki Tatsuya, jeune Samouraï adepte du Bushido. Il devra quant à lui prouver son innocence…
Deux guerriers, deux arts martiaux, un homme et une femme, deux idéologies, deux destins… une histoire : la leur !
Commentaire
Par didie27 le 2012-08-01 20:32:54
didie27
Or
J'ai été très agréablement surprise par ce livre. Une belle découverte ! La plume de l'auteur est légère et agréable, l'histoire est prenante et originale. Je conseille cette lecture, même à ceux qui ne sont pas habitués à lire ce style de littérature.

mercredi 18 juillet 2012

"L'attrapeur, un homme sans histoire"

Avis à la population !
C'est fait, c'est officiel, le contrat d'édition pour "L'attrapeur, un homme sans histoire" est revenu signé par mon éditeur. L'était temps !
La couverture sera officielle pour la rentrée, ainsi que le quatrième de couv... eh ! C'est les vacances aussi pour les éditeurs !
Je viens tout juste de renvoyer une première épreuve de correction, histoire de prendre de l'avance... Et puisque grâce à vous je franchis aujourd'hui les 700 visites, (YEEE ! Bravo ! Bis !) je vous laisse le résumé qui figurera sur ce petit roman de : 128 pages, format 15/22, couverture pelliculée... Euh ! je n'ai pas le prix, désolée !

Résumé:
C’est une théorie intéressante. Intransigeante, mais intéressante.
Vous trouvez ! Personnellement je trouve ça pathétique. Je n’ai pas l’once d’une opinion sur moi-même. Je n’ai pas de mémoire, pas de souvenir, pas de passé, pas d’histoire. J’ignore qui je suis et ce que je suis. Je n’ai aucun pouvoir de décision, pas de vie propre. Je suis une marionnette, un instrument, un jouet dans les mains d’une force imperceptible qui me commande. Parfois, de plus en plus souvent en fait, je me sens aussi sec qu’une terre aride. Mon existence n’est que désert, rien n’y a germé et rien n’y germera jamais.
 Je ne peux récolter d’autres satisfactions que celles de donner, de me donner corps et âme, sans condition… J’aimerais, je désirerais, ne serait-ce qu’un jour, une heure, un instant, VIVRE, vivre pour moi-même et seulement pour moi.

Laure se revendique le titre de "raconteuse d'histoires". Elle se plaît à créer des personnages pris dans la tourmente de situations extraordinaires, dans les méandres de leurs sentiments et dans les dédales de leurs émotions. Son genre littéraire ? C'est son imagination, sa soif d'aventures. Dans son précédent roman, "Kunoichi et le Samouraï", elle nous emmenait au cœur du Japon moyenâgeux. Aujourd'hui, c'est sur les routes de France, en Normandie, que l'on voyage. Avec "L'attrapeur, un homme sans histoire", on frôle l'étrange, on touche le paranormal, l'ésotérisme, on danse avec un homme mystérieux...  

Je ne sais pas si je pourrais venir faire un tour sur le blog durant les jours à venir... Je pars chercher le soleil (y en a plus en Normandie :(( "Il est mort le Soleil...") dans le Lot (Rocamadour, Le Gouffre de Padirac...), le ciel bleu, la chaleur, la piscine, la rivière... Les neuf heures de bagnole ;)) Allez, bonnes vacances à tous.

mercredi 11 juillet 2012

Merci Serena

Alors que je cliquais à tout hasard, cherchant des petits riens quant à Kunoichi et le Samouraï, voilà que je dégotte ceci. Le petit commentaire de Serena me va droit au coeur, merci encore.

Samedi 7 juillet 2012607/07/Juil/201211:24
Résumé :
C'est parce qu'elle n'est pas née de l'amour, que Namiko Haïko est ce qu'elle est : une guerrière impitoyable, un mercenaire de l'ombre capable sans regret, ni remords d'occire pour une poignée de Ryo… Une Kunoichi vindicative.
Son apprentissage du Ninjutsu est terminé. Son Senseï la presse de quitter le sanctuaire de son école… « Alors, lui aussi m'abandonne, comme tous les autres avant lui ! »
De sa triste naissance elle ne garde que de l'amertume et de la rage envers ce monde qu'elle hait, mais aussi une lettre (un lègue pathétique) où figure cinq noms ; cinq noms qu'elle grava dans sa mémoire à tout jamais. C'est pour ces cinq patronymes qu'elle va parcourir son pays dans un seul but : la vengeance !
Ailleurs dans la région de Kanto, un autre drame va se jouer ; celui de Tsubaki Tatsuya, jeune Samouraï adepte du Bushido. Il devra quant à lui prouver son innocence…
Deux guerriers, deux arts martiaux, un homme et une femme, deux idéologies, deux destins… une histoire : la leur !

210 pages
ISBN : 978-2-916529-59-2
Prix TTC : 12,00 €

kunoichi-et-le-samourai.jpg
Mon avis :
J'ai commencé cette lecture avec un sentiment partagé. Je ne suis pas fan des romangas mais, comme on m'avait conseillé ce livre, je me suis dit que je pouvais toujours essayer.
Et quelle surprise !
La lecture est aisée, même pour les profanes. L'histoire est passionnante, on a envie de connaître la suite et on ne lâche plus ce livre jusqu'à la dernière page.
Nous sommes dans le Japon historique où deux destins vont se rencontrer : un homme et une femme, deux guerriers assoiffés de vengeance qui vont se rencontrer, s'affronter, s'aimer.
Je ne peux que conseiller ce roman, moi aussi. Vous ferez une incroyable découverte !

dimanche 3 juin 2012

L'après Quillebeuf sur Seine



De retour du petit salon après une longue route : Mouaaaah ! un quart d'heure ;))) Bonne ambiance, peu de visite mais alors quelle joie de se retrouver entre auteurs d'une même maison d'édition : Cyril Quéméner "Les contrées de l'ange", Adeline Neetesonne "Cytise femme pirate, Éléments, La prophétie, Utopique Atlantide"  et moi même, des discussions, des rires, des moments conviviaux, voilà ce qui fait les bons salons (évidement, compter vendre beaucoup de livre...? Faut garder les pieds sur terre !) Heureuse de revoir Daniel Leveillard, auteur de "Le grand dérangement" aux éditions Louise Courteau, une oeuvre extra dans laquelle notre histoire  est épluchée dans les moindres détails et où toutes les vérités sont bonnes à lire, avec humour et panache. Yann Dupont était aussi sur les lieux, je l'avais rencontré au salon de Pont-Lévêque, il présentait son roman "Ressacs". Dans l'ensemble une journée agréable côté rencontres.

jeudi 24 mai 2012

Petite nouvelle de "L'Attrapeur, un homme sans histoire"

Mon second manuscrit, "L’Attrapeur, un homme sans histoire" a été retenu par l'éditeur :  ici

 Après de longues semaines d'attente, le contrat d'édition qui le concerne, me parviendra dans les jours à venir. La couverture et son quatrième sont à l'étude.
Si le choix de la maison correspond au mien, celle-ci reflétera tout à fait un des passages du roman, le plus important à mon sens... Car c'est le moment charnière de l'histoire, celui qui pousse l'attrapeur à changer, qui le motive et le terrorise !
Ce roman est un phénomène. J'ai ici tenté de montrer les dangers de l'altruisme. Se donner entièrement, corps et âme, aux autres, vouer son existence à une cause, même bonne, peut être un drame, s'oublier c'est aussi se perdre. Je crois !

D'un autre côté, dans l'histoire, je me suis permise de donner un petit rôle à la Mort. Un rôle sympathique, beau, et salvateur... ce qu'elle est presque toujours, selon moi ! ;)

Dès que je reçois la couv je vous tiens au courant. 


dimanche 13 mai 2012

Les agents littéraires



« Kunoichi et le samouraï », de Laure Toussaint

Kunoichi et le samouraï > Le livre: Kunoichi et le Samouraï, de Laure Toussaint, éditions Terriciae, 210 pages, 12 €.
> Présentation: Un « romanga » palpitant, une aventure au cur d’un Japon bousculé par les Tokugawa. C’est parce qu’elle n’est pas née de l’amour, que Namiko Haïko est ce qu’elle est : une guerrière impitoyable, un mercenaire de l’ombre capable sans regret, ni remords d’occire pour une poignée de Ryo Une Kunoichi vindicative. Son apprentissage du Ninjutsu est terminé. Son Senseï la presse de quitter le sanctuaire de son école « Alors, lui aussi m’abandonne, comme tous les autres avant lui ! » De sa triste naissance elle ne garde que de l’amertume et de la rage envers ce monde qu’elle exècre, mais aussi une lettre (un legs pathétique) où figurent cinq noms. Cinq noms qu’elle grava dans sa mémoire à tout jamais. C’est pour ces cinq patronymes qu’elle va parcourir son pays dans un seul but : la vengeance !
[Cette critique a été rédigée par Iluze, auteure du blog Chez Iluze que nous vous invitons à découvrir.]

> Kunoichi et le samouraï est un roman parfait pour découvrir le Japon historique. L’auteur explique tous les termes japonais qu’elle utilise. De ce fait, même les plus novices sauront apprécier cette histoire de samouraï et de ninja.
L’intrigue se concentre surtout sur la vengeance des deux personnages principaux. Chacun s’est donné une mission particulière. D’un côté, Haïko tente de retrouver les 5 hommes qui ont maltraité sa mère dans sa jeunesse. De l’autre, Tatsuya, accusé à tort d’un crime qu’il n’a pas commis veut plus que tout respecter la promesse qu’il a fait à son senseï (maître, professeur) pendant que celui-ci agonisait.
Haïko, la kunoichi, nous parait au premier abord une personne froide, sans cœur. C’est une vraie machine à tuer. Peu à peu, la jeune femme va se dévoiler et se découvrir. L’évolution de Tatsuya est moins perceptible. C’est la rencontre entre ces deux destinées qui va donner tout son charme à ce roman. A l’opposé l’un de l’autre, les héros sont tiraillés entre leurs convictions et le sentiment.
Néanmoins, je regrette les heureux hasards, les raccourcis que prend parfois l’histoire. Je veux dire par là que les personnages tombent très rapidement sur les personnes qu’ils recherchent. A croire que le Japon est une toute petite ville où on ne fait que se croiser. Mais peut-être cet élément a-t-il été fait exprès pour rendre hommage aux classiques japonais. J’avais repéré le même défaut dans La pierre et le sabre d’Eiji Yoshikawa.
Le style de Laure Toussaint est très agréable. Il privilégie bien l’immersion dans le roman. Elle a su créer un bon rythme au récit en alternant les moments d’action avec des périodes plus calmes. La fin de ce récit est tout à fait surprenante. Je m’attendais à quelque chose de joyeux et convenu.
Kunoichi et le samouraï fut donc pour moi une lecture plaisante. C’est une jolie aventure qui pourrait plaire aux adultes comme aux adolescents. Je n’ai qu’un seul regret. Je n’ai pas compris pourquoi ce livre est défini comme un « romanga ».

> Extrait :
« L’ombre féline se déplaçait aussi vive qu’un éclair déchirait le ciel. Elle se faufilait d’arbre en arbre, de buisson en buisson. S’il fallait mimer un rocher, elle devenait ce rocher. S’il fallait être l’eau de la rivière, elle devenait cette eau, froide, filante comme l’étoile, courante et déterminée. Ce n’était plus une jeune fille sage cachée dans un kimono.  Elle revêtait l’habit de noirceur. Une tenue qui lui collait parfaitement à la peau. Son corps, son âme et son cœur s’imprégnaient de ce vêtement. Il semblait taillé pour elle. « 
> Et s’il fallait mettre une note, ce serait:

samedi 5 mai 2012

Dans Ouest France.


Le Salon littéraire a réuni 17 auteurs - Coudray-Rabut

mercredi 02 mai 2012
Le Manoir du domaine des calvados Christian Drouin, a accueilli samedi, le 1 er Salon littéraire organisé par l'Académie de recherche, académie fonctionnant au niveau national avec un collège de soixante-dix académiciens.
« J'ai invité dix-sept auteurs (photo), huit d'entre eux sont des académiciens, dont Christian Drouin depuis un mois. Nous avons deux auteurs luxembourgeois et un belge. Je voulais une belle cohérence pour ce 1 er salon », indique Daniel Leveillard, président de l'Académie de recherche. À la pose déjeuner, les auteurs ont fait la visite de la distillerie.

vendredi 4 mai 2012

Ce qu'il on pensé de Kunoichi et le samouraï


Postée par :http://iluze.wordpress.com

Merci à Iluze d'avoir pris le temps de me lire.

 

Laure Toussaint – Kunoichi et le samouraï



Kunoichi et le samouraï est un roman parfait pour découvrir le Japon historique. L’auteur explique tous les termes japonais qu’elle utilise. De ce fait, même les plus novices sauront apprécier cette histoire de samouraï et de ninja.
L’intrigue se concentre surtout sur la vengeance des deux personnages principaux. Chacun s’est donné une mission particulière. D’un côté, Haïko tente de retrouver les 5 hommes qui ont maltraité sa mère dans sa jeunesse. De l’autre, Tatsuya, accusé à tort d’un crime qu’il n’a pas commis veut plus que tout respecter la promesse qu’il a fait à son senseï (maître, professeur) pendant que celui-ci agonisait.
Haïko, la kunoichi, nous parait au premier abord une personne froide, sans cœur. C’est une vraie machine à tuer. Peu à peu, la jeune femme va se dévoiler et se découvrir. L’évolution de Tatsuya est moins perceptible. C’est la rencontre entre ses deux destinées qui va donner tout son charme à ce roman. A l’opposé l’un de l’autre, les héros sont tiraillés entre leurs convictions et le sentiment.
Néanmoins, je regrette les heureux hasards, les raccourcis que prend parfois l’histoire. Je veux dire par là que les personnages tombent très rapidement sur les personnes qu’ils recherchent. A croire que le Japon est une toute petite ville où on ne fait que se croiser ;). Mais peut-être cet élément a-t-il été fait exprès pour rendre hommage aux classiques japonais. J’avais repéré le même défaut dans La pierre et le sabre d’Eiji Yoshikawa.
Le style de Laure Toussaint est très agréable. Il privilégie bien l’immersion dans le roman. Elle a su créer un bon rythme au récit en alternant les moments d’action avec des périodes plus calmes. La fin de ce récit est tout à fait surprenante. Je m’attendais à quelque chose de joyeux et convenu.
Kunoichi et le samouraï fut donc pour moi une lecture plaisante. C’est une jolie aventure qui pourrait plaire aux adultes comme aux adolescents. Je n’ai qu’un seul regret. Je n’ai pas compris pourquoi ce livre est défini comme un « romanga ».
Ma note : 8/10

Souvenirs du Salon de Pont l'évêque.

Christian Drouin, à gauche, notre hôte.

LA POMME
OU COMMENT JE SAOULE UN AUDITOIRE !




Lors de notre inscription au salon de Pont L’évêque, sur ce fabuleux rendez-vous littéraire et ô combien culturel, (fabuleux, parce que c’est mon premier et aussi parce que je me sens plus que petite face à des élites si prestigieuses), on nous a gentiment demandé de préparer un texte de quatre minutes sur « La pomme ». La pomme ! Normal pour des Normands, en Normandie au pays de ladite rondouillarde. Sur le coup je m’suis dit : « Faut pas se foutre de ma poire » !

Mais bon, avec le recul je me suis piqué au jeu. Mon Dieu ! Quel difficile exercice que ce texte imposé, surtout quand vous fonctionnez à l’instinct. Toujours est-il que je me suis obligée à accepter et à relever le défi.

Donc, après avoir cherché, fouiné, cliqué un peu partout, je suis tombée des nues ! Voulez-vous que je vous dise la vérité ? Eh bien, la pomme est un faux fruit. C’est un délice déguisé. Je vous l’assure, elle nous trompe, nous berne, je la soupçonne d’être tout sauf un fruit. Ce n’est pas moi qui le dis, cela se vérifie et je vais vous le prouver…

C’est un envahisseur qui en silence, sous des attraits colorés et parfumés, s’impose à nous, en nous, dans tous les domaines et ce depuis des lustres. Elle est partout et nous ne la devinons pas.
Tenez, par exemple, au début du quatorzième siècle, elle sévissait déjà. Il semblerait qu’elle fut la complice d’un mercenaire Suisse, un certain Guillaume, soit disant expert dans le maniement de l’arbalète. Lui, faisait preuve de piquant, tandis qu’elle démontrait déjà son mordant !
Et plus tard, au cours de l’histoire : vous rendez-vous compte de l’impact de ce faux fruit sur la physique ? Dois-je vous rappeler qu’elle s’imposa dans cette science comme un fruit trop mûr tombé de l’arbre !? Car n’est-ce pas par elle que la théorie de la gravité universelle fut démontrée? Encore un témoignage de son étendue.
Je vous le dis : la pomme est une inquisitrice ! Elle nous manipule. Quand je pense qu’elle va se faire empoisonneuse ! Si si… c’est une meurtrière. D’ailleurs, Blanche Neige n’en fit-elle pas les frais ? Oui, c’est vrai, je vous l’accorde, Blanche Neige était une « gentille fille »… elle s’est fait avoir jusqu’au trognon ! En ce qui me concerne, jamais je ne serais tombée dans le panneau. À sa place, la vieille sorcière ne se serait pas foutue de « ma pomme ». Personnellement, j’aurais tout de suite vu qu’il y avait « un pépin » ! Pensez donc ! Une vieille peau, flétrie, limite blette trainant dans le « quartier », ça se repère, non !

Je vous le répète : la pomme est partout. Dans la gastronomie : sucré ou salé, en compote ou en confiture, au four ou en tarte… (mais cela nous le savons tous). Dans la boisson : cidre, calvados, pommeau… (Heu ! Là, d’ici la fin de la journée nous l’aurons probablement oublié)  Dans la médecine… oui oui, ici aussi je l’ai déniché, inutile de me passer de la « pommade », je suis une experte quand il faut fouiller.

Quand je pense qu’elle est capable de se rendre douce, sucrée, juteuse, acidulé, qu’elle est à croquer… mais toutes ces « tentations » ne sont que poudre aux yeux : la pomme nous abuse. En fait, elle est depuis la création, l’alliée du Mal (c’est une maligne !). Ce fruit devrait être catalogué « fruit défendu », mais au lieu de ça, on nous bombarde de « Manger au moins cinq fruits par jour » !
Non, vraiment, c’est une perverse ! Vous ne me croyez toujours pas ? Pourtant elle a réussi, à la barbe de tous, à s’infiltrer dans les plus hautes sphères. Elle a obtenu le plus haut statut qui puisse exister. Elle fut le symbole d’une nation, l’étendard d’un homme puissant, l’image d’un pays… Elle eut sa place au plus haut niveau puisqu’elle fut le fleuron du pouvoir exécutif. Se faire gouverner par une « pomme », quand même ce qu’elle est douée !

Tout ça pour en arriver à la conclusion que sans elle nous ne serions pas plus hauts que « trois pommes ». Mais bon, je vais m’arrêter là, sinon vous allez croire qu’il n’y a en a que pour « ma pomme », et je m’en voudrais si à force de vous saouler, vous tombiez dans les …. !

Voilà comment on se ridiculise et amuse un auditoire qui se révéla réceptif. Une formidable journée. Merci Daniel !

samedi 28 avril 2012

Retour de salon.

Petit souvenir du Salon de Pont L'évêque. Ambiance très chaleureuse, mais hélas le temps se mêla de nos affaires ! Ô tristesse que cette pluie incessante qui fit fuir nos visiteur ! La Normandie ne serait pas ce qu'elle est sans son humidité ! Malgré tout la bonne humeur domina dans un cadre idyllique, au milieu des pommes, du calvados, du pommeau et autres cidres. Christian Drouin ( producteur et propriétaire de la distillerie) sait recevoir et plaire à ses invités. Quant à Daniel Leveillard ( maître de cérémonie et secrétaire perpétuel de L'académie de recherche), il a su mettre les auteurs présents en confiance, les accueillir, et les lectures de textes furent un aparté centré sur la gaieté, l'humour et la poésie... J'ai d'ailleurs bien amusée la galerie lorsque que mon tour fut venu ! ;) 

lundi 9 avril 2012

Après Viry Châtillon

Pour une première, c'est une première !

Autant pour la ville, pour Hélène (l(organisatrice) que pour moi.
Une campagne d'affichages de qualité, une recrudescence journalistique au fil de la journée, d'abord soutenue par des journaux comme le Parisien... puis la télévision locale avec laquelle j'ai joué à cache-cache. (Je déteste voir ma trombine mise en avant sur quelque support que ce soit ! ) :(
 Et bien sûr des auteures, plein ! Des filles, rien que des filles, pour un peu nous aurions pu nous lancer dans une pyjamas partie délirante. Mais bon, il ne faut exagérer, c'est notre esprit, notre soif d'écriture, notre imagination qui étaient mises à l'honneur, et non pas notre espièglerie et notre humour.
L'ambiance était légère, inutile de se prendre pour ce qu'on est pas, et des lectures de poèmes ponctuaient les temps de pauses durant l'après-midi.

Et bien sûr Adeline Neetesonne était là, juste à côté de moi, avec ses 4 ouvrages, nous inondant de ses mondes fantastiques. Elle aussi publiée aux Éditions Terriciaë, nous avons ri, discuté, échangé, papoté sur les... Bouquins, forcément ! Le temps a passé, les visiteurs aussi et mes livres sont restés (sauf un ;)merci Adeline). Malgré tout, le moment fut sympathique et je renouvellerai l'expérience.